Cet article est la suite de mon article « Adoption d’un chien auprès d’une association« . Alors, on a fini par effectuer l’adoption de Massko, un bouvier bernois de 2 ans à la pension canine où il a passé plusieurs mois. Je suis allée le chercher. A notre arrivée, Massko était attaché sans collier par une corde devant le bâtiment. Il avait été lavé, tondu à certains endroits pour le rendre présentable. Cet entretien tardif a mis au jour un hot spot. Heureusement, j’avais prévu le collier et la laisse de notre chienne. Massko était content de me voir et il est monté dans le coffre de la voiture sans stress.
Durant une heure de route, Massko n’a pas bougé pendant le transport, et chouquette le surveillait. Arrivé dans son nouvel environnement, il a exploré le salon et la cuisine où il y avait sa gamelle d’eau. Malgré son entretien sommaire, des poils ont recouvert ma maison en moins de 5 min. Je lui ai présenté son tapis et un jouet que l’on avait acheté en amont. Ma crainte était la nuit. Mais, il est resté seul dans la pièce à vivre et il a pleuré une fois pour sortir faire ses besoins.
Nous avons pris le temps de regarder les documents qui nous avaient été transmis. On a découvert que Massko est LOF et confirmé ainsi que tout ses ascendants.
Adaptation du chien et son environnement
Dès le lendemain de l’adoption de Massko, il a vu le vétérinaire pour son hot spot. Il commence à faire la fête quand on rentre et à aboyer. Donc, il est en confiance à la maison et avec nous. En 5 jours, Massko a pris ses marques dans notre famille et son comportement change de jour en jour. Il reste seul à la maison et dans le jardin. De plus, il joue. Enfin, on commence à pouvoir le lâcher en liberté pour courir. Massko s’épanouit dans son nouvel environnement.
Nous l’emmenons avec nous à la sortie de l’école et partout où les chiens sont acceptés. Massko reste calme et se rassure en restant collé à celui qui tient la laisse. Mon mari est devenu le monsieur avec l’ours pour les maternelles.
Massko est un chien qui a besoin d’avoir sa famille avec lui. Il a toujours eu œil sur chacun d’autre nous et il reste à l’affut dès que chouquette s’éloigne.
En plus, à force de le bosser tous les jours, il perd moins de poils. C’est une soulagement car passer 3 fois par jour l’aspirateur, ce n’est pas mon plaisir. D’ailleurs, pour enlever le plus gros de la mue, j’avais pris rendez-vous au toiletteur. Une femme adorable qui a bien pris soin de Massko. Il est resté tranquille pendant toute la séance. On pense qu’il avait l’habitude d’y aller.
Le bilan de l’adoption de Massko
Au bout d’un mois, Massko est chez lui. Et il a ses habitudes et ses horaires de sortie. Bien sur, il a fait quelques bêtises: prendre du pain sur la table, prendre des affaires sans les abimer ou pas. Il commence aussi à nous montrer son caractère. Effectivement, Massko n’arrive pas forcément à gérer ses émotions. Alors, il faut le canaliser. Le non, il connait mais la frustration entraine une bêtise plus ou moins grosse. Après une situation de solitude, il veux faire la fête en sautant. Mais, quand vous avez 50kg qui arrivent lancés droit sur vous, vous esquivez. Et une fois, calmé, il revient pour faire un câlin. Bref, un vrai gamin.
Depuis l’adoption de Massko, notre vie a changé. Chouquette joue beaucoup plus dans sa chambre et range ses affaires. L’organisation familiale est adaptée afin d’éviter les bêtises de notre grosse chose (surnom de Massko). Massko nous fait également bouger plus car nous devons le sortir malgré le fait que nous ayons un grand jardin. Enfin, notre chien dort sur le sol sans cousin. Cependant il a besoin d’avoir son coin à lui avec ses affaires (os, jouets). Récemment, je lui ai donné une peluche à mâchouiller pour se rassurer.
Si vous êtes arrivés jusqu’à là, je vous remercie.
Pensez à mettre un « j’aime » juste en-dessous si l’article vous a plu.
Et vous pouvez me retrouver sur les réseaux sociaux facebook et instagram pour papoter.
A bientôt.